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24 février 2019

Nos points sur le rapport de Samantha Cazebonne

Nos points sur le rapport de Samantha Cazebonne

1. Les considérations financières :

- Trouver des marges de financement pour l’AEFE :
- la moitié de la subvention de l’Etat Français est mangée par le poids des retraites (les pensions civiles) des personnels résidents et expatriés
- bien que les salaires (et accessoires) de l’ensemble des personnels sont largement cofinancés par les établissements.
- Trouver les moyens de répondre à la commande présidentielle de faire croitre l’enseignement français à l’étranger, par l’initiative privée ou étrangère puisque il n’y aura pas d’afflux massif d’argent public.

=> La réponse principale apportée par le rapport :
- Le remplacement des différents statuts des personnels (Expatriés, résidents, TNR…) par un statut unique pour les titulaires, modulé en fonction des responsabilités du poste : le détaché direct. Un des gros avantages est que la pension civile (part patronale = 74% du salaire indiciaire) du détaché direct est toujours imputée au budget de l’Etat. Si au terme de ces 2 missions de 3 ans, il choisit de se localiser , il aurait alors la possibilité de cotiser au régime de retraite locale (certains peuvent être très avantageux) ou de rester au régime des retraites de l’Etat. C’est avantageux pour l’établissement évidemment. Pour le personnel Education nationale, c’est à voir, les syndicats doivent défendre les polypensionnés.

2. L’évolution de l’ensemble du modèle :

• Ressources humaines

 Assumer la formation initiale et continue d’enseignants qui se destinent à l’enseignement français à l’étranger et les certifier tout au long de leur parcours de formation.
Le rapport propose, surtout, - et c’est une demande forte que nous portons depuis longtemps-, pour les enseignants non titulaires, une réelle formation diplômante et valorisante. Les Diplômes universitaires déjà mis en place, notamment par la Mission Laïque et l’AFLEC sont une avancée majeure, comme le deviendraient les ESPEI (instituts locaux de formations à l’enseignement international) localisés dans les gros établissements, comme c’est déjà le cas au lycée franco-mexicain. Sans négliger évidemment d’un réel accompagnement pédagogique et didactique de terrain valorisé par des certifications « enseignement à l’étranger » tout au long de la formation continue. (Recommandations 73 à 79)

 Veiller aux évolutions de carrière des personnels, à la valorisation de l’expérience à l’étranger lors du retour en France.
 Permettre aux titulaires souhaitant se localiser de le faire .dans de bonnes conditions
 Donner un ratio minimum et maximum d’enseignants titulaires par élèves par établissement, afin d’offrir à l’ensemble des élèves la même part d’encadrement pédagogique « certifié français ».

• Entendre les attentes élevées des parents

Oui, les parents ont des attentes élevées. C’est sans doute ici que nous devons rappeler que les parents de l’EFE ne sont pas des usagers . Ils ont, choisi, dans leur grande majorité, l’enseignement français dans sa meilleure déclinaison. Ils ont en effet des attentes, d’ordre pédagogique, économique et stratégique que la FAPEE exprime et défend, notamment dans les 50 propositions à l’avenir de l’enseignement français à l’étranger.

A la FAPEE, nous estimons que ce n’est pas seulement parce que les parents paient qu’ils ont droit au chapitre. C’est aussi parce que nous pensons que la complémentarité des apports des uns et des autres contribue fortement à la cohérence et au dynamisme d’un établissement scolaire.
Savoir associer les parents change tout : la confiance mutuelle, l’état d’esprit, le sentiment d’appartenance.
Enfin et surtout ce sont des acteurs essentiels ! Ils sont prêts à s’investir pour leur école, ce qui est une richesse et une force fantastique qu’il ne faut pas decourager.
C’est eux le facteur anti sclérose de l’EFE.

• Frais de scolarité mesurés

 Avoir de la visibilité à trois ans (R.126).
 Etre associés aux décisions stratégiques et budgétaires, notamment sur l’immobilier qu’ils financent en quasi totalité (R. 105,106, 107,108,114, 115).

• Qualité/choix

Le rapport propose de créer des indicateurs qualité des établissements qui prennent en compte :
- l’orientation postbac des élèves,
 les certifications offertes, 
l’enseignement Français langue étrangère et anglais par groupe de besoins,

- l’accueil des élèves à besoins éducatifs particuliers - notamment de référents “inclusion” en primaire et secondaire dans chaque établissement et des personnels certifiés Ecole inclusive (CAPPEI). 






Il invite les établissements à s’évaluer et s’adapter en arrêtant chaque année en Conseil d’établissement des critères de satisfaction à sonder auprès de l’ensemble des familles pour qu’elles puissent conforter les choix de l’établissement ou faire entendre des demandes d’adaptation, notamment sur les langues.

Il invite également à consulter la représentation parentale pour les renouvellements de détachement au-delà de la période de mobilité de 6 ans.
 (R.125)

3. Gouvernance :

Le présupposé de Madame Cazebonne est que le parent n’est pas un ennemi, un hystérique, un ignorant mais qu’il est un contributeur raisonnable à la réflexion commune. Qu’on peut compter sur son sens des responsabilités.

Elle propose, comme nous le demandons depuis toujours d’augmenter la représentation des associations de parents au CA de l’AEFE (2/28 à 5/28)

Et pour les organismes gestionnaires parentaux, de leur donner un siège en propre au CA de l’AEFE et d’adapter la convention aux contextes très divers de chacun de ces établissements (R.127).

EGD :

Globalement nous apprécions de donner plus de place aux parents dans les instances, de créer des indicateurs de satisfaction, mais quelle sera - en EGD- l’obligation d’y répondre ? Il faut aussi rendre plus "décisionnaires" les instances en EGD, ce qui est le cas pour les projets immobiliers mais dommage qu’il n’y ait rien sur le vote du budget. On doit sortir du piège d’instances se réduisant à des chambres d’enregistrement.
Il semble utile également de noter dans le chapitre gouvernance, les recommandations 129 et 130 sur la médiation pour la résolution des conflits internes.
 élire, dans le cadre du Conseil d’établissement, un binôme de médiateurs (composé d’un
personnel et d’un parent d’élève) reconnus pour leurs compétences ou expériences en la
matière.
 élire un binôme de médiateurs dans le cadre du Conseil d’administration de l’AEFE, suite à la présentation d’une liste de noms suggérés pour leur qualification en la matière.

Enfin, nous saluons, dans le rapport de Samantha Cazebonne, le souci de trouver des solutions adaptées à l’extrême diversité des situations et attentes de la communauté française établie hors de France comme à la diversité de la demande d’offre d’enseignement français et international des familles étrangères.

L’attention portée aux enfants français (souvent binationaux) scolarisés dans le système local mérite d’être saluée. Nous soutenons la création de sections francophones dans l’enseignement public ou privé local qui ouvrent sur des certifications en français ou des bi-diplômes ; (R.1à 37).

Sur la facilitation de l’homologation :

La concurrence peut être saine mais encore faut-il qu’elle soit encadrée… Donc plus de lycées français, oui, mais en veillant à ce que leur développement ne conduise pas à multiplier les établissements qui se cannibaliseraient parce que portant sur le même segment de population.
Les parents, notamment des EGD, craignent des effets de concurrence qui seraient à leur détriment si :
1/ les frais de scolarité continuaient à grimper
2/ le plafond d’emploi était toujours maintenu, a fortiori, pour les personnels de recrutement local.

Documents à télécharger :

Rapport Cazebonne 2019 sur l’enseignement français à l’étranger :

 lien Rapport intégral

 Synthèse (pdf)

Nos points sur le rapport de Samantha Cazebonne
22 février 2019

Colloque sur le développement de l’enseignement français à l’étranger

Samantha Cazebonne ouvre la réflexion et le débat sur les recommandations présentées lors de la remise du rapport sur le développement de l’enseignement français à l’étranger.
https://www.samantha-cazebonne.com/colloque

Colloque sur le développement de l'enseignement français à l'étranger
22 février 2019

Réunion des ministres de l’éducation nationale française et espagnole

Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, s’est entretenu avec Madame Isabel Celaa Dieguez, ministre de l’Éducation et de la Formation professionnelle – Porte-parole du gouvernement espagnol, au Ministère de l’Education nationale, lundi 18 février 2019.
À l’issue de cet entretien, les deux ministres ont signé une déclaration d’intention dans le domaine de la coopération éducative et linguistique.

Cette déclaration comporte quatre points principaux :

  • la reconnaissance de l’importance et du succès du Bachibac (créé en 2008) et la volonté de développer ce dispositif en y inscrivant pleinement la mobilité des élèves et des enseignants ;
  • l’accord de principe pour la signature à venir d’un arrangement administratif sur les sections internationales espagnoles afin de consolider ce modèle d’excellence ;
  • la nécessité d’un travail en commun pour assurer aux bacheliers français un accès plus fluide aux universités espagnoles (via une grille de conversion équitable des notes) ;
  • l’ambition d’une coopération forte dans le domaine de l’enseignement et de la formation professionnels, en encourageant notamment les campus des métiers français et les centres de formation intégrés espagnols à travailler en partenariat et en réseau.

<http://www.education.gouv.fr/cid139...>

21 février 2019

Frais universitaires :Contribution FAPEE à la mission Flash de l’Assemblée Nationale

Frais universitaires :Contribution FAPEE à la mission Flash de l'Assemblée Nationale
I. Dans quelle mesure l’augmentation des frais de scolarité pour les étudiants étrangers extra-européens risque-t-elle de peser sur l’attractivité des établissements du réseau de l’AEFE d’une part, et sur l’attractivité de l’enseignement supérieur français d’autre part ?

La France, dans son offre éducative à l’étranger, tant celle de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) que de la Mission laïque française (MLF), a toujours valorisé une évidente continuité d’études vers notre enseignement supérieur en France. La promesse d’un enseignement supérieur de qualité et à moindre frais justifiait ainsi, pour de nombreuses familles francophiles et appartenant à une certaine élite intellectuelle, l’engagement culturel et financier que représentent 15 années d’études au lycée français. Pour beaucoup d’entre elles, ces 15 années ont représenté un réel sacrifice car elles n’appartiennent pas toutes, loin s’en faut, à l’élite économique.

L’augmentation annoncée empêchera naturellement nombre de familles de pouvoir inscrire leurs enfants à l’université en France car, faut-il le rappeler, au coût des droits d’inscription il faut ajouter le coût de la vie sur place. Jusqu’à présent les étudiants et leurs familles arrivaient à assumer ce coût cumulé car il correspondait peu ou prou aux écolages qu’ils avaient eu à payer durant la scolarité dans le système français à l’étranger. Mais avec désormais un surcoût de 200 à 300 euros par mois, ça sera problématique pour les plus modestes qui sont toutefois nombreux.

Avec cette incertitude qui va peser sur les parents extra-européens que leurs enfants puissent suivre des études universitaires en France, certains risquent de remettre en cause le choix du système français et se tourner vers d’autre systèmes scolaires qui sont à l’affût et proposent désormais des offres concurrentes. Nous avons en effet constaté au niveau de l’offre éducative dans le 1er et 2e degré, un point de basculement à partir duquel les familles recalculent leurs meilleures options.

Nous craignons que l’augmentation massive des droits d’inscription universitaires ne les oriente vers d’autres écoles internationales ou vers le système privé local qui lui-même tend à s’internationaliser avec un tropisme anglo-saxon fort, notamment par la préparation au « International Baccalaureate ». Celui-ci jouit d’un très grand prestige auprès des familles qui valorisent un enseignement supérieur hors du pays local ou même auprès des universités locales, publiques et évidemment privées.

Non seulement il y aura moins d’étudiants étrangers dans le supérieur en France mais également moins d’élèves étrangers dans nos établissements français dans le monde alors que le Président a appelé de ses vœux les effectifs à doubler !

II. Est-ce que des craintes ont été exprimées par les parents d’élèves au sujet de cette augmentation ?

Nous avons effectué en janvier une mission au Maroc où nous avons rencontré les représentants des associations de parents d’élèves des établissements d’Agadir, de Casablanca, de Fès, de Kenitra, de Marrakech, de Meknès, de Mohammedia et de Rabat. Le premier sujet abordé a été unanimement l’augmentation des droits d’inscription à l’université. Les familles extra-européennes – fort nombreuses dans le réseau marocain – ont exprimé avoir été trahies par cette mesure. Elles ont également considéré être prises en otage car elles ne peuvent plus revenir en arrière pour leurs enfants qui sont dans le système français depuis de nombreuses années. Les mots sont forts et engagent à la réflexion sur les conséquences de cette décision gouvernementale prise sans concertation avec les principaux intéressés.

Nous venons plus récemment d’effectuer des missions à Lomé et à Addis-Abeba où nous avons respectivement rencontré des représentants des associations de parents d’élèves d’Afrique centrale et d’Afrique occidentale et orientale. Le sentiment est partout le même : incompréhension, trahison et interrogation sur le choix de système français pour les jeunes enfants de ces familles, y compris ceux qui sont déjà scolarisés au primaire.

Ceci est particulièrement préoccupant quand on sait que 74% des bacheliers de la zone Afrique font actuellement des études supérieures en France ! Ce choix était naturel : il ne le sera plus désormais.

Nous avons également des craintes exprimées par des parents d’Amérique latine pour qui de surcroit le choix du système français n’est pas naturel car étant hispanophones ou lusophones et qui envisagent désormais d’autres alternatives.

III. Selon vous, une exemption pour tous les bacheliers issus des établissements de l’AEFE serait-elle souhaitable ?

Mais oui ! Non seulement souhaitable mais aussi essentielle.

C’est une évidence stratégique et aussi une évidence morale : il doit y a une continuité de communauté, d’enseignement et de valeurs entre nos élèves et les étudiants qu’ils seront. Ne pas les exempter, c’est briser un sentiment d’appartenance et défaire la communauté des élèves de l’enseignement français à l’étranger où, justement, la nationalité s’efface derrière le partage de la langue, de la culture et des enseignements de l’école de la République.

Pour mémoire, dans une déclaration commune avec l’Union-ALFM (Association des anciens élèves des lycées français du monde), la FAPEE a demandé le 24 novembre 2018 qu’un traitement identique à celui des étudiants français et européens soit proposé aux bacheliers non européens des lycées français de l’étranger.

Cette demande a été soutenue par de nombreux élus représentant les Français établis hors de France et a été reprise par la députée Samantha Cazebonne dans le rapport de mission qu’elle vient de remettre au Premier ministre.

CONCLUSION

Rappelons que la Cour des comptes a indiqué dans son rapport de novembre dernier que la différenciation des droits d’inscription entre étudiants européens et extra-européens engendrera des effets d’éviction difficiles à évaluer alors que cela « revêt une importance stratégique pour l’attractivité de la France, sa diplomatie d’influence et son économie ».
Il convient également de rappeler que d’un point de vue purement comptable, une étude de Campus France réalisée en 2014 a démontré que l’accueil des étudiants étrangers en France présente un solde positif. En effet, « alors que le coût de ces étudiants étrangers pour le budget de l’État peut être évalué à 3 milliards d’euros environ, l’apport des étudiants à notre économie se monte à 4,65 milliards d’euros ».
La mesure annoncée par le premier Ministre visant à augmenter les droits d’inscription pour les étudiants extra-européens issus des établissements français de l’étranger s’interprète, en ce qui les concerne, comme une mesure punitive à l’inverse même de l’intention gouvernementale : on n’accueille pas mieux, on met un obstacle de plus. Mauvais signal !

Contribution FAPEE à la mission flash sur l’accueil des étudiants étrangers
20 février 2019

Ecole inclusive dans le réseau EFE

Inscrite dans les missions de l’AEFE

Ecole inclusive dans le réseau EFE

"L’éducation inclusive fait désormais partie des missions officielles de l’enseignement français à l’étranger et des critères d’homologation ! Les amendements que j’ai défendus en séance ce soir et qui font partie des recommandations du rapport que je rendrai lundi ont été adoptés par l’Assemblée nationale.

Inscrire l’éducation inclusive dans les missions mêmes de l’AEFE signifie que des dispositions réglementaires devront désormais s’assurer du respect de ce principe dans l’ensemble des établissements homologués du réseau.

Les opérateurs AEFE - Agence pour l’enseignement français à l’étranger et Mission laïque française, avec la création de l’Observatoire pour les élèves à besoins éducatifs particuliers (OBEP), ainsi que plusieurs établissements d’enseignement français à l’étranger, leurs équipes pédagogiques et des associations de parents d’élèves (comme le réseau Aledas ou la FAPEE) ont déjà engagé plusieurs actions pour améliorer l’accueil des élèves à besoins particuliers, dont les élèves en situation de handicap. Inscrire l’éducation inclusive dans les missions de l’enseignement français à l’étranger va permettre que cet effort soit poursuivi, généralisé et soutenu par des dispositions réglementaires. " -publication Facebook du 31 janvier 2019 de la députée Samantha Cazebonne

lien vidéo de séance à l’Assemblée nationale

4 février 2019

Communication : valoriser les atouts de votre établissement

Savoir accueillir sur votre site internet

  • Une communication en plusieurs langues
  • une page "Bienvenue" exhaustive, professionnelle et familière : les différents services, les différents départements, trombinoscope, un contact en urgence 24/24
  • Mettre en valeur la communauté
    • les familles et les anciens élèves (témoignages,...)
    • Les temps forts de l’établissement
    • Les parents contact/relais= > l’association de parents d’élèves
    • Le caractère multiculturel de l’établissement, du personnel..."Chaque enseignante apporte la richesse de ses origines. Ce sont toutes des professionnelles, diplômées dans leur pays de naissance. Elles mettent leur enthousiasme, leurs talents et leur expertise au service des enfants et de la communauté scolaire."(l’Ermitage France)
    • Accueil des nouvelles familles
  • Pré-rentrée des familles et de l’ensemble de la communauté scolaire
  • Expliquer
  • Inscription en ligne, suivi en réponse rapide par téléphone
  • Les modalités de communication : pronote,..
  • la politique éducative de l’établissement,
  • au niveau de chaque classe : le curriculum, l’évaluation,...
  • la politique des langues

Un établissement attentif aux élèves : valoriser et accompagner chacun

  • - Formation solide
  • - Education à la citoyenneté, à la solidarité et à la coopération, au développement durable
Bien vivre ensemble, bien être des élèves

=> Page dédiée du site

  • => Personnel référent identifié pour les élèves (Vie scolaire)
  • => Médiation entre pairs
  • => Créer une cellule écoute (harcèlement...) contact 24/24
  • => personnel de santé
Ecole inclusive

=> page dédiée du site (mesures d’accompagnement et de prise en charge)

  • => personnel référent, suivi des dossiers des élèves
  • => politique de formation des enseignants
  • => politique de remédiation, d’accompagnement, liste de thérapeutes

La représentativité, la citoyenneté

  • Conseil de vie collégienne, conseil de vie lycéenne, conseil d’établissement
  • Les actions citoyennes

Un établissement attentif aux enseignants/personnels

=> Valoriser la diversité des formations et des talents
=>Formation initiale, formation continue des personnels, enseignants et non enseignants
=> l’éthique professionnelle : charte de déontologie
=> Un environnement professionnel et solidaire : les instances de concertation (Commission dialogue social, CRH, CHSCT,...)

Attentifs aux parents

  • Inviter à vivre et faire vivre la communauté : l’engagement bénévole,
  • Créer un fond social ou fond de solidarité pour aider les familles en difficulté (accident de la vie). Financé par un petit pourcentage des frais de scolarité.
  • Abattement pour les fratries
Les services
  • La garderie (avant le temps scolaire, après le temps scolaire)
  • La restauration
  • Les activités périscolaires "Ateliers"
  • L’école ouverte : ateliers/jardin d’enfants sur petites vacances
  • L’attention à la santé psychique des élèves : psychologue-conseil
  • La médiation

Pour exemple, les sites des Lycées français de San Francisco, de Singapour, ...

18 décembre 2018

On vous menace de dés-homologation ??

On vous menace de dés-homologation ??

C’est souvent sur le sujet des langues, que l’inspection, la direction menacent de retirer l’homologation. Les parents veulent du bilingue à parité horaire au primaire ? On risque de vous enlever l’homologation !

Que répondre ?

  • Plusieurs établissements sous contrat en France et à l’étranger pratiquent la parité horaire en toute sérénité.
  • Le rapport du recteur Filâtre de l’académie de Versailles sur le développement de l’enseignement international en Ile de France le prône
    janvier 2018 https://www.ladocumentationfrancais...
    "PROPOSITION 6. Lancer l’expérimentation « enseignement bilingue » à parité horaire (50/50) de la maternelle au lycée "Pour les classes de maternelle et de primaire, il conviendrait de disposer d’un binôme d’enseignants par classe avec, dans la mesure du possible, un enseignant natif prenant en charge l’enseignement d’immersion ou un enseignant formé dans le cadre des coopérations.
    Un autre exemple porté aux auditions du comité est celui d’un partenariat avec le British Council qui a conduit à la création d’un nouveau programme bilingue dans une école primaire (privée) à Paris. Il s’inspire d’un programme de partenariat entre le ministère espagnol de l’éducation et le British Council, mis en œuvre à grande échelle à Madrid, et qui existe, lui, depuis 20 ans. L’expertise de l’organisme britannique pourrait être un atout tant sur le plan de l’approche pédagogique que sur celui de la formation des enseignants d’immersion." p.12-13
    .
  • Plusieurs établissements sous contrat parmi les plus réputés/respectés s’affranchissent sans problème de contenus et pédagogies de l’Education nationale pour mettre en place leur propre curriculum dans certaines matières : cf Ecole Jeannine Manuel "Le contenu des programmes enseignés est celui des programmes officiels du Ministère de l’Éducation Nationale, à l’exception des programmes d’anglais, sciences et chinois, qui sont propres à l’École Jeannine Manuel."https://www.ecolejeanninemanuel.org/fr/our-educational-principles/projet-pedagogique.html

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